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jeudi 28 janvier 2010

L’engagement et le respect professionnel dans les réseaux.

Utilisez les réseaux sociaux professionnels c’est aussi découvrir au delà des outils, qu’ils existent des différences de comportements et d’attitudes selon les professionnels participants. Entrer dans les réseaux, c’est au début comme arriver sans connaître sur une grande foire. On regarde les uns se déplacer seuls, les autres se regrouper et discuter entre eux, d’autres encore visiter sans s’attarder, et beaucoup en général observer en essayant de comprendre. Certains même ressortent pensant que cela ne peut pas fonctionner pour eux. Quelques soient les différentes intentions des participants aux réseaux sociaux professionnels, avez vous entendu parler d’esprit réseaux, d'engagement ou d’éthique de relations inter professionnels. ?

Le réseau c’est d'abord appendre l’autre. Créer du lien inter professionnels en réseaux ne consiste pas seulement à se relier à l’aide d’un logiciel comme www.viadeo.fr - www.xing.com - www.linkedin.com ou encore www.facebook.com et www.twitter.com (et bien d'autres) puis d’attendre de voir venir ou de cheminer à sa manière. C’est aussi et surtout prendre conscience au plus tôt que l’on entre en relation avec des « personnes » de culture, d’éducation, de formation, de secteurs professionnels et de projets différents. Ce qui fait autant de regards différents (et complémentaires) sur un même sujet. Donc autant de divergences à mesurer et respecter si elles sont respectables bien sur. Selon l’origine de notre éducation ou de notre organisation sociétale actuelle, on observe des comportements qui vont de l’extrême enthousiasme pour les réseaux à la peur la plus tenace. Heureusement entre ces deux extrêmes, il y a de nombreuses postures relationnelles positives qui font des réseaux un des enjeux majeurs de ce 3ème millénaire.

Les réseaux c’est d’abord l’ouverture vers les autres et vers de nouveaux gisements de savoirs conduisant vers une diversification et une augmentation des richesses partageables disponibles. Mais avancer à tâtons peut devenir une source de conflits surtout si l’on a choisit le découvrir en mode auto formation sans s’appuyer sur aucune expérience. Je pense ici aux jeunes professionnels qui entrent pour la première fois dans le monde de l’entreprise. Prenons pour illustrer mon propos l’engagement de paiement inter professionnels en réseaux.

Les réseaux fiabilisent les paiements. Les réseaux sociaux facilitent la rencontre entre professionnels complémentaires qui grâce à l’inter rémunération créent et maintiennent la circulation de valeur sur un même territoire et en augmente aussi sa valeur ajoutée. Ils peuvent s’auto facturer des compétences. Dans le cas malheureux ou cette relation de réseaux s’est construite trop vite ou sans méthode, les partenaires peuvent découvrir à leurs dépends que l’un qu'ils ne partagent pas les mêmes niveaux de respect de la relation client, de respect des délais et pire encore de respect de paiement des factures. J’appelle cela le triangle de l’engagement de réseaux. Ce manque d’esprit réseaux peut mettre en péril la qualité du produit ou du service co construit et parfois même la trésorerie de celui qui n’est pas payé à temps.

Un type de professionnel de réseau en voie de disparition. Le réseau une fois de plus apporte une solution sur le besoin de qualification de la relation interprofessionnelle. Avec le temps le partenaire indélicat ou insuffisamment formée va disparaître suite aux effets de sa réputation négative qui va circuler dans les réseaux. En effet de plus en plus d’entreprises et de managers pour rester pro-actif et compétitifs, font appel à la méthode de la recommandation dans les réseaux pour répondre à des questions commerciales (le prospect est il solvable ?), d’achats (ce fournisseur tient il la qualité et les délais ?), pour ses partenariats (ce banquier est il solide ? ce partenaire techniques est il fiable ?) ou encore pour son recrutement (ce candidat a t'il vraiment les compétences annoncées?). Accéléré par l’effet web, la connaissance de la fiabilité des uns et de la dégradation de la relation avec les autres s’amplifiera et dépassera les frontières géographiques qui n'hésitent déjà plus dans les réseaux sociaux sur le web. Cette évolution déplacera même les flux financiers, apportant du chiffre d’affaire ici pour en retirer ailleurs, obligeant certains professionnels à modifier leurs comportements dans la relation ou à disparaître. C’est ce que j’appelle la transparence augmentée. Le consom’acteur’ commence à percevoir cette différence et l'expriment dans ses commentaires sur le web allant de la satisfaction au mécontentement. L’effet viral web faisant le reste dans un sens ou dans l’autre.

Construisons des relations professionnelles durables. Je vous suggère de percevoir la différence dans les réseaux entre vos « contact » simples rencontres virtuelles d’échanges d’informations d'avec ceux qui avec le temps vont devenir vos « relations professionnelles » C’est une notion fondamentale dans les relations professionnelles sur laquelle j’insiste à chaque fois que j’interviens, pour expliquer l'usage des réseaux, auprès des étudiants Master II de MICNI ou des professionnels en formation continue de CRPL dans l’une des meilleures écoles de l’image en France : www.gobelins.fr

Qu’est ce que ces notions d'engagement et de respect inter professionnels en réseaux évoquent pour vous ?

Les Réseaux Sociaux d'Entreprise: l’entrée dans l’ère du conversationnel.
Un dossier réalisé par la société USEO. Le dossier

Bons et mauvais moments de réseaux

Souvent les professionnels pensent que l'on peut faire du réseau lorsque on la décidé. Par si simple. Faire du réseau c'est surtout ne pas oublier d'apprendre à découvrir l'autre et donc s'apercevoir (entre autres différences) que chacun travaille à son rythme propre et selon le moment de la rencontre de réseau ne se situe pas au même niveaux d'occupation.

J'observe aussi des points de vue divergents sur cette question suivant les cultures, les formations ou encore les générations. Lorsque je parle de timing d'un capital relationnel à un étudiant en Master II de www.gobelins.fr, il ne me répond pas la même chose qu'un stagiaire en formation continue de 10 ans d'expériences professionnelles.

On voit aussi de grandes différences de perception du temps entre les acteurs du privé, du public ou encore des professions libérales. Ces différences influent sur le niveau de réussite des projets de réseaux.

J'en profite pour sensibiliser les salariés sur le fait de ne pas abandonner ou délaisser leurs présences sur les réseaux sous prétexte qu'ils ont solutionner leurs besoins ou qu'ils ont trop de travail. Le réseau demande de la continuité et de la visibilité. La persévérance paye en matière de réseau. Deuxième suggestion aux professionnels en recherche d'emplois. Profiter de cette période pour vous construire ou réactiver votre réseau. Cela demande du temps mais après il contribuera à votre réussite tout au long de votre vie professionnelle.

Et vous le réseau c'est quand? Le lundi, le weekend, le matin, le soir, chaque semaine, 2 fois par mois?

mardi 26 janvier 2010

Information synonyme de connaissance ?

Seul dans l'océan du web. Comme à son excellente habitude mon collègue Frédéric conçoit ou trouve des articles très complets sur les thèmes du marketing en général et du web en particulier. Merci et Bravo.

J'en profite pour en éclairer un usage.

Quels en sont les usages des lecteurs ? J'en profite pour éclairer un usage web souvent observé. Nous utilisons rarement le web pour trouver et valider les compétences complémentaires à l'entreprise mais plus souvent pour essayer d'absorber par la lecture d'informations tous les savoir-faire afin d'essayer de trouver, tout seul, les réponses à toutes nos questions. Est ce le syndrome de la grenouille qui veut devenir aussi grosse que le bœuf. Est ce la croyance que l'accumulation des savoirs rimerait avec "anti chômage"? ou encore, la maladie de "l'infobésité" existe t elle vraiment? Qu'en pensez vous?

Quels en sont les usages des lecteurs ? J'en profite pour éclairer un usage web parfois souvent observé en France. Nous utilisons rarement le web pour trouver et valider les compétences complémentaires à l'entreprise mais plus souvent pour essayer d'absorber par la lecture toutes les savoir-faire afin d'assurer tout seul les réponses à toutes les question. Est ce le syndrôme de la grenouille qui veut devenir aussi grosse que le bœuf. Est ce la croyance que l'accumulation des savoirs rimerait avec "anti chômage"? Qu'en pensez vous? Existe t'il la maladie de "l'infobésité" ?

Que suis je censé vouloir dire? Je souhaitais dire dans ce billet que si les informations du web et les analyses trouvées sur le net vous paraissent tellement pertinentes à la lecture, c'est sans doute que leurs créateurs aboutissement à ce niveau d’excellence grâce à la conjugaison de plusieurs années d'études et d'expériences. Ce qui induit que le copier/coller de la stratégie du succès lue chez les uns ne donne aucune certitude chez les autres. La croyance que l’absorption de tous les savoirs permet de devenir ou de rester le représentant multi compétences rêvé par les clients ….est une illusion.

Si l’objectif d'absorber tous les savoirs peut être parfois sous tendu par un manque d’argent, je suggère d'opter pour démarrer par un négociation d'un lien contractuel d’échanges de compétences. Cela peut éviter de se mettre en péril à jouer à l’apprenti sourcier des savoirs et d'errer dans des espaces inconnus et face à des compétiteurs de hauts niveaux en provenance des quatre coins du monde. La stratégie des 3C, cercle de compétences complémentaires de talents inter professionnels (par objectif) permet d’atteindre un haut niveau de satisfaction en terme de qualité pour la gestion des projets et la créations de produits (et de services) afin de satisfaire des comsom ‘acteurs’ devenus exigeants, renseignés et qui prennent la parole sur le web.

Le syndrome du samedi matin. La boulémie de connaissances professionnelles se voit souvent le weekend. Allez vous balader le samedi matin au rayon entreprises des libraires et vous verrez de nombreuses personnes lire et acheter des livres sur des compétences très éloignées du cœur de leurs savoir-faire et finalement passer beaucoup moins de temps à mettre à jour leurs vrais talents. S’intéresser à tout les savoirs, posture enrichissante au sens de la connaissance générale, peut s’avérer extrêmement dangereux pour des décideurs ou des indépendants qui se risquent sans expérience sur les chemins inconnus de la compétitivité, de la crédibilité et de la réputation. L'accès à l'information universelle sur web de type wikipédia qui est une excellente innovation d'encylopédie vivante n'entraîne pas automatiquement la maîtrise de la connaissance ou des savoir-faire compatibles avec le niveau de compétition globale des marchés. Sous traiter les savoir-faire complémentaires qui permet de rester compétitif sur le coeur de son métier, est une stratégie gagnante facilitée par les usages des réseaux sociaux. Cela peut contribuer à éviter une désillusion, l'apparition d'un doute sur la confiance en soi et une perte. Car rien n'est gratuit sur le web.

Le web n'est pas gratuit, vous le payez de votre temps. Par ailleurs l’accès est au web est faussement gratuit. En faite vous le payez à tous les niveaux et notamment par le coût supporté (estimé en nombre d'heures investit et comptabilisé au tarif horaire) pour accéder au niveau de qualité nécessaire à l'exercice de votre métier. La lecture de l'information ne vous garantie en rien un résultat de compréhension et n'est forcément pas synonyme de qualité dans son contenus ni dans ses conclusions. Ce n'est pas parce qu'une boite (web) est entourée d'un beau ruban que cela vous garantie le bon contenu. Par ailleurs votre temps de lecture au hasard du web cache une autre perte : celle nécessaire à la formation continue induite par l’évolution constante du cœur de votre métier et par votre absence sur le terrain commercial et votre manque de visibilité sur le web.

Le web de la compétence. Je vous suggère d'utiliser les outils du web 2.0 notamment les réseaux pour trouver et rencontrer les professionnels complémentaires à votre cœur de compétences, les valider par la réputation des recommandations puis leurs sous traiter vos attentes concernant les savoirs non disponibles en interne. Vous verrez que cela fonctionne bien mieux et que cela coûte beaucoup moins cher qu'une l'erreur ou un échec.

mardi 19 janvier 2010

Le marché du film d'entreprises sur le web s'amorce

Le marché amorce un nouveau virage tant dans la communication numérique d'entreprises que sur le secteur de la production de la création audiovisuelle. Les progrès techniques, l'émergence de nouveaux web média, des modèles économiques de nouvelles générations et des nouveaux canaux de distribution, produisent un abaissement des coûts de production, de réalisation et de diffusion permettant l'ouverture des portes d'accès à de nouveaux compétiteurs vers de nouveaux clients BtoB, du monde des arts et ou encore des acteurs des collectivités territoriales. Des nouvelles pistes de création de valeurs partageables s'ouvrent. Une révolution est en marche.

Des nouveaux compétiteurs à évaluer sont en cours d'apparition, d'autres sont déjà opérationnels et d'autres encore traditionnels commencent leurs mutations pour s'adapter à ces nouvelles concurrences. Tous convergent vers les mêmes formats et les mêmes rapports Qualité/prix compatibles avec de nouveaux clients comme les PME, les professions libérales et des communautés territoriales de petite taille.

Audio Visuel Moreau, jeune société de production, de post production et de réalisation de films d'entreprises créée en 2006 et basée à Paris, recherche des commerciaux indépendants hommes ou femmes spécialisés dans le milieu audiovisuel ou la communication.

Vous négocierez les services de l’entreprise avec des décideurs du secteur privé et public sur un territoire définit en Ile de France. La rémunération sera constituée d’un pourcentage sur les contrats signés et facturés. Le partenaire commercial sera en charge de contacter les clients, d’établir les devis avec l’appui du responsable technique et de négocier les contrats.

Disponibilité du poste : Immédiate

Les plus :

· Entreprise reconnue sur le secteur et présentant des références.

· Outils d'aide à la vente (Site internet, supports DVD, assistante technique…)

· Communication (cartes de visite, plaquette, mailings, site internet, ...)

Si vous vous reconnaissez, merci d’envoyer votre CV à : Moreau Audiovisuel à 2 rue Ferdinand Flocon à Paris ou par Email: à l’attention de Pascal contact@audiovisuel-moreau.com ou à Eric Messeca consultant en marketing de la relation professionnelle

Merci à vous et à bientôt.

le site web : www.audiovisuel-moreau.com

mercredi 13 janvier 2010

La valeur de la connaissance

L'information est gratuite mais la connaissance se facture. Souvent lorsque j'accompagne des entrepreneurs indépendants en stratégie marketing, se pose la question de la tarification de leurs offres de services. Comment le calculer? Dois-je me caler par rapport au prix du marché? Dois-je réfléchir à partir de mes coûts ou en fonction du pouvoir d'achat clients? Le prix ne serait il pas une affaire de subjectivité? Comment dissocier l’information qui est gratuite de la connaissance payante. En faite qu'est ce qui a de la valeur ? et pour qui?

Dans le cas de la tarification du service aux entreprises, le problème supplémentaire est souvent l'immatérialité de la prestation. Je m'explique lorsqu'un garagiste répare votre voiture il change des pièces et cela se voit. Vous avez la preuve de ce que vous payez. Lorsqu'un consultant intervient dans une entreprise, la prestation n'a pas toujours de preuve hors mis le temps passé à vos coté ou des résultats mesurables avec le temps. Dans certains pays les décideurs d'entreprises perçoivent le consultant comme un partenaire extérieur abonné à l'entreprise tout au long de l'année. Dans d'autre comme une bouée de sauvegarde de la dernière heure. Une sorte de pompier des temps modernes pour l'entreprise. Le Zorro des causes perdus. Dans d'autres encore comme une sorte de professionnels qui met sont nez dans mes affaires. En faite tout est question de regard, d'interprétation et de timing pour le client. Plus le décideur attends pour faire appel à un consultant complémentaire à ses compétences et plus son stress de marché lui transforme le regard posé son problème. Plus le décideur essaye d'intervenir seul hors de son champ de compétences et plus la situation empire réduisant les chances de succès du consultant qui intervient. Le monde accélère et dans une compétition globale le timing joue un rôle déterminant. Pour finir je voudrai vous raconter une histoire.

C’est l’histoire du plombier et la machine à laver ? Après avoir essayé durant de heures de trouver vous-même la solution, vous appelez le plombier qui arrive dans une cuisine inondée. Il regarde et 10 minutes plus tard change un joint puis rédige sa facture : intervention : 100€. Le client s’étonne : 100 € pour un simple joint !! c’est cher. J’aurai pu le faire moi-même et le plombier de réponde : Oh excusez moi je me suis trompé et réécrit la facture où l’on peut lire 1 joint : 0,5€ et savoir-faire 99,5€ Total 100€. La subjectivité de la valeur de la connaissance peut s’illustrer avec à cette histoire.

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mardi 12 janvier 2010

Le don d'ubiquité est là

Le don d'ubiquité est là avec le web. Souvent lorsque l'on parle de recherche d'efficience web pour un métier ou dans une conduite du changement vers le numérique, la première observation est [...mais je n'ai pas le temps de poster ou de mettre à jour mes informations dans tous les outils du web...],. La deuxième remarque est [...cela à l'air compliqué...], ou [...je ne suis pas un "Geek" ou un informaticien..]. Cette remarque d'ailleurs arrive quelque soit la génération.

Une bonne nouvelle. Je vous annonce une bonne nouvelle, nous entrons dans l'ère technologique des démultiplicateurs d'efficacité web. Je sais le terme est barbare. C'est un peu comme la déesse Vishnou du web. Vous savez celle qui a plusieurs bras pour faire plusieurs choses en même temps. Je vous écrit ce texte à partir d'un blog de nouvelle génération qui me permet de décider de mon portable ou de mon PDA où je vais le publier. La puissance de l'ubiquité est en marche. Vous entenrez parler maintenant de mobiquité qui associe certains outils web avec un mobile genre Iphone, Google Android, ou d'autres window compatible comme par exemple mon HTC. De nouveaux web usages sont à inventer. A vos neurones, prêt, partez.

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samedi 9 janvier 2010

Conduire son changement professionnel par le numérique

Quelque soit sa génération, le numérique est venue s’insinuer à bas bruit dans notre quotidien. Les plus spectaculaires des effets en sont les usages des web réseaux sociaux.

Souvent ignoré ou freiné par les acteurs du monde de l’entreprise, cette vague qui, comme un tsunami, numérise sur son passage toutes les informations, les processus et les liens, à contourner l’obstacle et comme l’eau s’est creusé un fleuve à travers nos relations sociétales. Sans trop le rendre visible au début, ce tsunami a ouvert de larges fractures d’usages et de relations entre le consommateur à la maison, son double au travail et les entreprises, les collectivités et les territoires. Comme de nouveaux espaces d’incommunicabilité.
Déjà constaté depuis de nombreuses années par les salariés, le niveau d’équipement et de puissance d’usages numériques progressant plus vite à la maison qu’en entreprise, cela à obliger certains professionnels à emmener du travail à la maison pour rester efficace. D’autres organisés en indépendant et télétravail offrant des prestations plus efficace que celles réalisable par les salariés.

L’absence en France d’étude prospective visible sur les effets du numérique, les luttes de pouvoir intra entreprises et inter métiers par corporation, a rendu aveugle les espaces professionnels, leurs limitant la mesure de l’ampleur de la vague du changement qui progressait comme la lave d’un volcan en attente d’irruption.

Ces dernières années, et brutalement, le volcan est entré en irruption et les modifications induites tant mondiales que locales font découvrir aux dirigeants d’entreprises et aux salariés que l’émergence d’un nouveau monde numérisé relié par des réseaux sociaux est irréversible.

Maintenant le temps n'est plus à la réflexion ni à l'organisation de commissions d'experts ou encore de colloques pour évaluer si on a le choix d’y aller ou pas ou comment arrêter le phénomène. Maintenait il n’y a plus photo, ni dialogue opposé, on y va. Mais par quel chemin ? Est-ce que tous les chemins mènent à Rome ? Certes oui dit le proverbe mais sont ils tous égaux ? La ligne droite est elle toujours le chemin le plus court avec les êtres humains. Car n’en déplaisent à certains théoriciens mathématiciens qui pensent le contraire : il y a 80% de relation humaine et 20% d'investissement et de formation d’outils dans ce processus de changement.

Il est temps pour chaque professionnel d’entreprendre une réflexion accompagnée sur la question « Comment vais je mener ma conduite de changement (vers) par le numérique ? ». Que vous soyez à la recherche d'un emploi, à la veille de créer une entreprise ou de la développer, que vous ayez un an d'expérience métier ou 10 ans, que vous soyez leader ou challenger sur votre marché...chacun à sa manière ressentira les effets de cette révolution et sera amené à se construire une feuille de route pour s'adapter.

Chaque entreprise, fonction, métier, secteur d’activité, corporation, régions…...sera à son rythme profondément transformée avec une émergence des effets plus retardée ou cachée suivant les enjeux, les localisations et les cultures.

Pour une fois ce n’est ni un changement de génération, ni l’achat de nouveaux outils, ni des investissements de rattrapage qui pourront nous faire chausser nos bottes de sept lieux. Selon mon intime conviction, les voies de la réussite sont à chercher du coté du dialogue sociale intra entreprise, de l’ouverture d’esprit inter métiers, de la valorisation intra entreprises de nos différences et de nos capacités à savoir travailler et construire ensemble, de la libre circulation de l'informations inter communautés et de nos nouvelles capacités de savoir-être et savoir tisser des liens avec l'humain.

Il est clair que nous ne travaillerons plus comme hier nous entrainant à découvrir des nouvelles postures et organisations agiles et d’Open Attitude.

Diviser pour mieux régner est sans doute le proverbe des anciens le mois adapté à la situation.

Parlons-en et si c'est mieux adapté pour vous, rencontrons nous dans les réseaux ou au téléphone.

Vous êtes professionnel indépendant, comme envisagez-vous ce changement ?
Vous êtes dirigeant d’entreprise, avez-vous débuté un processus de dialogue sur le sujet ?
Vous êtes directeur des ressources humaines, envisagez vous de parler de Capital talent ?
Vous dirigez une équipe, avez-vous commencé une mutation vers un mangement par les talents ?
Vous êtes acteurs d’une région, connaissez vous la valeur du capital talent de votre territoire ?
Vous dirigez une corporation, prévoyez vous des passerelles inter métiers et secteurs ?
Vous êtes acteurs de l’éducation, comment envisagez vous l’animation des nouveaux liens ?

dimanche 3 janvier 2010

Eric propose le vernissage de Caroline Karout

Eric, l'un de mes contacts de réseaux m'informe.

Chers Amis des Plaisirs Elégants, L'année 2009 fut riche en manifestations artistiques et 2010 s'annonce une année prometteuse elle aussi. En fichier joint le programme de notre 1er rendez-vous pour un cocktail de vernissage avec la peintre Caroline Karout le mercredi 6 janvier. Ensuite , nous nous retrouverons le jeudi 14 janvier pour un 2ème cocktail à ne pas manquer. Bonnes Fêtes à tous. Eric de Rethil

VERNISSAGE
mercredi 6 janvier 2010 de 19h à 22h
Rendez-vous avec Caroline Karout autour d’un verre
HAAGEN DAZ 12, rue de Buci 75006 Paris (Métro : Mabillon ou Odéon)
Merci de prévenir de votre venue,
eric.de.rethil@voila.fr ou 01 41 10 94 70

Détails sur le vernissage de l'artiste